Affronter les embruns tout en restant bien au sec et à l’aise durant les manœuvres sur le pont. C’est la combinaison magique lorsqu’on choisit sa veste de quart. Revue de détail.
Indispensables pour monter à bord d’un bateau, quel que soit son programme de navigation, les vestes de quart peuvent être classées selon trois modèles qui cultivent un subtil équilibre entre les principes fondamentaux de robustesse et de souplesse, de réspirabilité et d’étanchéité.
Les vestes de quart proposent un savant mélange de respirabilité et d’étanchéité, de robustesse et de souplesse.
Pour un prix relativement accessible, à partir de 150 euros environ, les vestes côtières se montrent particulièrement adaptées à une pratique occasionnelle, n’excédant pas davantage qu’une ou deux journées en mer. Favorisant la légèreté et le confort dans les mouvements, elles disposent d’une seule couche de tissu imperméable, pouvant exploiter un procédé d’enduction qui offre un rempart efficace contre la pluie et le vent. Avec un col qui ne dépasse pas le menton, elles peuvent s’enfiler parfois à la manière des vareuses.
Pour un budget allant de 250 à 350 euros environ, les vestes de croisière garantissent des performances satisfaisantes sur des navigations de plusieurs jours. Agrémentées de deux couches, elles sont dessinées pour une pratique régulière et exposée avec notamment des éléments réfléchissants ou à haute visibilité, un col relevé jusque sous le nez ou encore des manchons étanches avec des rabats en velcro.
Avec un investissement de 400 euros et plus, les vestes hauturières permettent des traversées exigeantes et intensives au long cours, en s’appuyant sur une fabrication en 3 couches ainsi que des tissus techniques à membrane à la fois isolants et respirants (de type Gore Tex ou encore Dremtech). La qualité des empiècements de protection contre l’humidité est également au rendez-vous, avec notamment un col qui atteint la ligne des yeux.
Pour prolonger la durée de vie de votre veste de quart, il convient de la rincer régulièrement à l’eau douce afin de minimiser son abrasion par des dépôts de sel en surface.
Crédit : BT
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