Un sondeur ou sonar de pêche se compose de deux parties distinctes. Il y a d’abord une sonde ou transducteur, qui émet des ultrasons sous l’eau en direction du fond. Les ondes ainsi provoquées rebondissent sur les obstacles (rochers, poissons, etc. ) et repartent en sens inverse vers la sonde. Des données sont ainsi captées et retransmises vers la surface sous forme d’impulsions électriques. Un boîtier reçoit alors ces informations, les analyse et les retransmet sur écran.
La puissance de la sonde constitue un premier critère de choix : exprimée en watts, plus elle est importante, meilleures sont la portée et la sensibilité de l’instrument. La fréquence de la sonde est également déterminante : plus elle est basse, plus elle ira profondément et inversement plus elle est élevée plus elle sera précise. Elle est généralement associée à l’angle ou cône d’ouverture de la sonde. Si un cône de 90° couvrira un cercle dont le diamètre équivaut à deux fois la profondeur d’eau, il affichera moins de netteté qu’un cône de 20° qui balayera une surface rapportée à un tiers de la profondeur d’eau.
L’autre facteur de décision est instruit par le souci de lisibilité : on optera ainsi pour la plus grande taille, ainsi que la meilleure résolution d’écran que notre budget nous autorise. Dans le même esprit, certaines fonctions peuvent s’avérer très pratiques comme la géolocalisation, la connectivité (Bluetooth, Wifi, …) et la retransmission en temps réel.
Si on trouve des produits dès 50 € en entrée de gamme, il vaut mieux prévoir une enveloppe d’au moins 500 € pour des systèmes véritablement performants. Reconnues pour leur fiabilité, on retiendra les quatre grandes marques qui dominent ce marché : Garmin, Humminbird, Lowrance et Raymarine.
Mode
Pêche
Nautisme
Décoration
Loisirs
Gastronomie
Culture
Cosmétiques
